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Harry Potter et le Sanctuaire d'Horus

Par LXS

Disclaimer : Je ne possède rien de l’Univers Potter, seuls quelques personnages sont à moi, ainsi que l'histoire bizarre et tordue. Si j'écris cela c'est par pure plaisir !
C’est ma première longue histoire, alors soyez patients avec moi s'il vous plait.

Note de l'auteur : je ne répondrais qu’aux reviews remarquables. Je sais les chapitres sont court.

Résume : UA / Lorsqu'un rêve devient obsession, la curiosité piquée au vif vous mène par delà les mers et les déserts. Les temples millénaires d'Égypte et de Grèce comme seuls repères et appuis face à la menace grandissante de Vous-Savez-Qui. Exploration du passé, du présent et du futur, mélange des magies et des cultures. Harry devra affronter bons nombres d'énigmes, et d'adversaires avant d'affronter dans un duel sanglant Voldemort.

Harry Potter et le Sanctuaire d'Horus
Chapitre 2 : Fuite et départ pour l'Égypte

Plusieurs jours passèrent, Harry continuait de vivre son enfers quotidien. Il n'avait reçu aucune réponse de la part de son mentor. Le contraire aurait été étonnant. Il s'inquiétait beaucoup car depuis l'envoi de ce courrier, sa chouette n'était pas revenue. Il l'enviait, il aurait tant aimer retourner au château.

Sa cicatrice le faisait chaque jour un peu plus souffrir, il ne savait l'expliquer, tout comme ses rêves étourdissants, qui l'appelaient à quitter Privet Drive et à se rendre en Égypte. Harry savait que quelque chose là bas l'attendait mais, ne savait comment s'y rendre. Peut être qu'avec le Magicobus ?... Il oublia vite l'idée lorsqu'il se souvint de son premier voyage avec le bus magique. Et puis il n'était pas sûr qu'il puisse se rendre en Égypte avec.

Lorsqu'il avait quelques minutes de libres, il essayait de s'informer sur Horus. Il n'avait pas trouver grand chose. Juste qu'il était un Dieu, à la tête de faucon, et qu'il était considéré tout comme Amon-Rê comme le maître ancestral du peuple.

Il avait prit aussi des renseignements sur Hathor, il avait découvert qu'elle était la Déesse du ciel, de l'amour et des plaisirs. Il se demandait bien quels plaisirs il pouvait bien retiré de ses séjours répétés dans cet anti-chambre de l'enfer ?! Même être captif de Tom était plus plaisant se surprit – il à songer.
Le soleil tapait fort en cette journée de juillet, et Harry devait tailler tous les buissons qui entouraient la petite maison paisible des Dursley. Après une matinée de travail, il songea à un peu d'eau, et l'odeur de la nourriture entrain de cuir ne l'aidait pas à se concentrer sur autre chose que sa faim. Il osa demander à sa tante un verre d'eau.

Et comme il s'y attendait, il eu un refus et un 'va travailler et ne remet les pieds ici que lorsque tes tâches seront toutes accomplies !'. Il soupira, se prit une gifle pour manque de respect envers sa tante. Ce fut ce qui le décida.
Harry alla face au placard sous l'escalier et l'ouvrit d'un geste brusque faisant sauter tous les verrous poser sans dire mot à sa tante qui le regardait horrifier de sentir la puissance retenue de son neveu. Il pris sa malle qu'il rempli avec ses affaires, et comme il l'avait déjà fait quelques années auparavant, il sorti sans un dernier regard. Livré à lui même, il marcha de longues heures avant d'atteindre la ville. Il se trouva un petit coin tranquille où il put réduire sa malle par un sort qu'il avait lut dans un livre, après avoir prit son balais, et sans que personne ne le remarque, Harry chevaucha son balais donnant un coup de talon dans le bitume et s'envola vers l'Égypte.
Severus Snape était presser en cette nuit sans lune. Il avait eu un rapport alarmant d'Arabella Figg qui expliquait que Harry Potter, avait quitter son domicile, et qu'elle ne savait pas où il se trouvait. Severus marchait à vive allure faisant voler ses robes derrières lui. Il devait informer Albus Dumbledore le plus rapidement possible.
Ils devaient faire revenir l'enfant au château après avoir longuement discuter avec Amélia Bones, qui avait été plus qu'horrifier face aux révélations de la Pensine de Severus. L'homme vêtu de noir arriva devant la gargouille qui donnait accès au bureau du directeur, et se souvint à temps que le mot de passe avait changer et que celui là il l'avait !

-Dragée douce-amer citronnée ! Grogna t – il en levant les yeux au ciel.
 

La gargouille se déplaça laissant l'accès à Severus Snape qui se précipita jusqu'au bureau. Et entra sans autres cérémonies, surprenant légèrement Albus.

-Que se passe – t – il mon enfant pour que tu entre ici sans même frapper à la porte ?!

-Harry Potter à disparut, il a quitter sa maison, et depuis plus de nouvelles. Il avait avec lui sa malle.
Le choc se lisait facilement sur le visage las et fatigué du vieux sorcier. L'ordre fut rapidement mit au courant de la situation et tous les sorciers de la lumière furent appeler afin que l'enfant élu des Dieux et de la puissance pure soit retrouver. Tous cherchèrent durant plusieurs jours, sans aucun résultat.

Et enfin un beau matin, Hedwige arriva avec la missive. Après lecture et relecture, Albus fit appeler dans son bureau le maître des Potions ainsi que la directrice de Gryffondor. Tous trois discutèrent de la marche à suivre quand à l'expédition en Égypte qu'ils devaient mettre sur pied afin de rejoindre l'enfant.
Albus savait qu'en Égypte un enfant aiderait le jeune sorcier dans sa quête de vérité, mais il savait également que dans ce pays, les forces obscures de Voldemort étaient largement plus puissantes. Après avoir révélé cette information plus que inquiétante, les deux professeurs, allèrent chercher dans d'autres villes d'Angleterre et d'Écosse des sorciers avec des intentions pures pour que la Lumière détruise pour toujours la noirceur qui se profilait à l'horizon.

Beaucoup de sorciers, étaient plus qu'horrifier à l'entente des nouvelles informations. L'ordre du Phénix avait eu un réseau mondiale de renseignement. Certaines aides venaient de moldu qui voulaient se révolter, et ne plus vivre dans la peur quotidienne. Tous avaient confiance en Harry Potter, élu des Dieux, et protéger par la puissance du berceau du monde.

La terre lui offrait, la possibilité de la cultiver, lui donnant tous les fruits et légumes dont il aurait besoin pour vivre. L'eau l'hydratait chaque jour, et même lorsqu'il ne buvait pas, l'eau s'infiltrait en lui pour que jamais sa gorge soit sèche. Le feu brûlant en lui le protégeait de ses flammes ardentes, afin qu'il ne manque jamais de chaleur, et que la lumière l'entour. Et enfin l'air qu'il respirait était infini pour lui, et jamais il ne quitterait ses poumons, car il était l'enfant élu, et fils de Dame Nature qui avait fait le serment de toujours veiller à son bien être.

La puissance de l'enfant élu dépassait l'imagination, mais à son égale Voldemort était tout aussi puissant que lui, bien malgré ses erreurs d'avoir voulut anéantir son rivale trop tôt, tous deux étaient le contraire de l'autre. Plus la noirceur envahissait d'hommes, et de femmes, plus grande serait la puissance de Voldemort.
Les Dieux avaient fait de Harry leur élu car lui seul possédait dans son âme et conscience la pureté requise pour mettre un terme définitif à la menace. Ce que personne ne savait était que peu importe celui qui vaincrait, aucun ne survivrait à ce dernier affrontement

Auteur : LXS
Titre : Saga
Base : /
Univers : /
Couple : à découvrir
Disclamer : Tout les personnages et l'univers de cette histoire sont ma propriété. Ceci est une histoire inventée. Homophobes, Racistes, passés votre chemin merci !

Une goutte ruisselante de sa nuque allant finir sa course au creux de ses reins. Son parcours bien trop mouvementé par notre activité présente. Comment pourrais – je me passer de ses cris ? Ce son si doux à mes oreilles. Son corps écarteler sous le plaisir intense de la jouissance qui s'empare de lui alors qu'il y a bien longtemps que son sperme à souiller les draps. Le cri ultime de son plaisir m'aura fait au moins admettre que jamais je ne lui serais infidèle.
Comment le pourrais – je ? Il suffit de voir en ce jour, cette offrande qu'est son corps au miens. Je crains fort que durant plusieurs jours la position assise lui soit interdite. J'aime voir ses doigts torturés les draps dans une étreinte trop serrée.

Sa bouche se perd dans l'oreiller, alors que mon pénis atteint à plusieurs reprises sa cible. Comment puis – je oublier cette vision ? Celle d'un ange arqué par le plaisir que ressent son corps. Un cri de plus et mes doigts griffent son dos sans lui laisser la moindre trace. Et alors que j'accélère mes va et vient, une nouvelle sensation naît au creux de mes reins, et pris d'un orgasme sans nom, je jouis au plus profond de son anatomie, en plusieurs jets puissant.
Je me retire de son corps quelques minutes plus tard, le prenant dans mes bras, lui offrant le plus langoureux baiser qui puisse exister, avant de me blottir et de m'endormir dans ses bras, le sourire aux lèvres.

-Fin-

QU EST CE QUE J'AI FAIT?

Dans cet adieu, il n'y a pas de sang

Mon corps tombe inconscient lourdement sur le moelleux de mon lit. Je ne me sentais pas très bien ces derniers temps.
J'aurais dû les prévenir, que quelque chose n'allait pas. Mais ma solitude et mon silence auront eu raison de moi.

Il n'y a pas alibi, parce que je tire du regret

J'aurais souhaiter voir une dernière fois ceux qui un temps furent ma famille. Je suis dans la demeure de ceux que j'ai trop aimer, et trop pleurer. Dans ce geste si désespérer je veux que l'on sache que mon seul regret sera, d'avoir en ce matin ensoleillé perdu la seule personne qui formait ma famille.

De la vérité, des milliers de mensonges

Sans doute me suis - je mentis jusqu'alors. Mais en aucun cas je ne voudrais revenir vers eux. Eux qui m'ont ignorer, et qui m'ont abandonner dans des temps aussi dures pour moi. J'aurais sacrifier, ma jeunesse pour ceux qui m'ont donner la vie. Et le seul remerciement que j'aurais, c'est des reproches ? Je ne supportes plus cette situation qui me ronge jour après jours. Comment les personnes qui forment ma famille de sang pourraient le voir ? Jamais aucun ne songe à venir vers moi pour prendre des nouvelles.

Alors laisse venir la pitié et qu'elle nettoie

Je me retrouve donc seul face au néant tourmenté de la mort. La pitié viens sous forme de femme me prendre dans ses bras. Répétant une lamentation, tout en pleurant sur mon épaule. Sa douleur est telle que cela me fais réaliser mon erreur. Pourquoi leur ai - je donner ce qu'ils attendaient tous ? Cette bande de rapace indigne d'être présent lors de mes funérailles.

Ce que j'ai fait

Je m'en veux, ce geste si inconsidéré, leur laisse libre accès à tout ce que fut ma vie. Autant de critiques acerbes de leur part me fera toujours autant rire. Si ils savaient à quel point je les emmerdes !

Je ferai face à moi-même

Mon corps flotte jusqu'à une salle ou je me retrouve face à moi même, et plusieurs questions me sont posé. Je cherche mes mots, pour exprimer mon profond regret d'un geste rempli de douleur.

Pour rayer ce que je suis devenu,

Une main fantomatique sort du miroir face à moi, avec un sourire. Je la sert en retour, et je me sens retomber avec violence en arrière. Que se passe - t - il ? J'en arrive à un chemin avec deux routes différentes. Laquelle choisir ? J'opte pour celle de droite.

M'effacer.

Je me retrouve rapidement devant mes parents, avec un seul enfant. Je les vois heureux. Comme dans mes souvenirs, et malgré mon regard qui scrute je ne vois qu'un enfant. Et alors que je veux me retourner, je vois ma mère souffrir de l'absence d'un autre enfant. Un enfant qu'elle désir plus que tout au monde.

Et abandonner ce que j'ai fait.

Je ne veux pas venir au monde si je sais que quelques années plus tard, ils disparaitront l'un après l'autre dans la douleur. Mon sacrifice pour elle, l'aider à supporter sa souffrance et sa douleur jour après jours.

Oublie ce que tu pensais de moi

En me retournant, je revois mes amies, si précieuses à mon cœur. Et j'ai tellement envie de les revoir, de leur parler. Stupide geste que j'ai fais sans pensé aux gens qui m'ont réellement aimer.

Pendant que j'efface cette ardoise

Petit à petit ma vie s'efface de la surface de la terre, comme un oublie d'une personne anonyme et inexistante. Comme si mon corps, ma chair, et mon sang, n'eurent jamais aucune signification à leur yeux. Je me rend bien compte que je ne suis rien pour les gens de ma famille, juste une gène de plus dans leur petite vie si bien ranger.

Avec les mains de l'incertitude

Un ange vient à ma rencontre, et me berce tendrement dans ses bras, alors qu'une émotion sans nom, s'empare de mon cœur et que des larmes, amères d'incertitudes, emplissent mes yeux et se déverses sur mes joues. Entrecoupé de hocquettements.

Alors laisse venir la pitié et qu'elle nettoie

L'ange me dépose dans les bras d'une autre femme, que je sers fort dans mes bras. J'ai trop mal, et mon esprit se perd dans ma douleur. J'ai trop mal, je souffre, et pourtant je refuse de relâcher cette personne. Sa tendresse m'enivre presque dans les tourments de mon geste, et toutes les questions que je me pose.

Ce que j'ai fait

Ce geste, je le referait autant de fois qu'il le faut. Juste pour échapper à ma vie si dure, et si solitaire. J'ai trop souffert de leur connerie. J'ai trop souffert du départ de ceux qui m'ont donner la vie, en pensant à eux aujourd'hui je souhaite juste leur dire à quel point j'ai pu les aimer.

Je recommence

En cette nuit de pleine lune, j'ose m'aventurée encore et encore dans ma salle de bain, j'ouvre avec détermination ma pharmacie, et je prend plusieurs tubes de médicaments. La solitude me pèse trop. L'ignorance intensifie ma douleur.

Et quelle que soit la douleur qui en résulte

J'affronterais la tête haute la douleur de ce geste, indéfiniment si tel est le souhait des anges. Mais je n'affronterais plus jamais la douleur d'une solitude, car dans cette douleur, je serais toujours accompagner par un ange qui un jour fut destiner à me protéger de mon vivant.

Cela s'arrête aujourd'hui

Mon souffle se meurt peu à peu à la naissance de mes narines et de ma bouche. Mon âme se sépare de mon corps. Et s'envole dans un tourbillon noir. Embrasser par la mort je me laisse emporté au delà des portes de la vie.

Je pardonne

Dans ce dernier geste désespéré, j'ose pardonner, l'ignorance, et la méchanceté des gens qui furent ma famille.

Ce que j'ai fait

Dans une lettre qui leur fut adresser tous découvrir avec effroi la solitude dans laquelle ils m'avaient tous volontairement plonger, et ma décision de leur pardonné malgré tout.

Pardonner ce que j'ai fait.

Et je leur demande à leur tour de me pardonné. Ne sentant que le rejet de leur par je n'arrivais plus à faire face à la douleur qui étreignait mon cœur jusqu'à l'en étouffer.